Le 9 novembre, plusieurs Maures vinrent me trouver pour que je leur indiquasse la manière de prendre le basilic : l’aîné des fils de la maison me dit que je ne devais la leur indiquer qu’après m’être fait donner un coussabe ; je répondis que, si j’étais assez heureux pour pouvoir rendre quelques services aux Maures, je le ferais pour l’amour de Dieu, et n’en retirerais jamais aucun paiement. Je rapporte ce fait pour faire voir combien ces peuples sont peu généreux.