[…] Roi […] El […] fleuve
Le clan de Kret a disparu ; la maison du Roi fut détruite, mais il y avait 7 autres frères 8 fils d’une seule mère. Kret, ses enfants, anéantie, Kret fut dépourvue de succession. Il avait pris sa femme, sa future épouse. Il prit une femme, mais elle s’en alla. La progéniture de sa mère avait été comme tel :
1 est morts en bonne santé,
1 est mort de maladie,
1 que Reshef a emporté,
1 par les gens de Yamim,
1 tombé par l’épée.
Kret voit sa descendance en ruine, sa puissance fut outrageusement amoindrie et dans sa totalité une famille est morte au large, et sa succession dans son intégralité. Il entre dans sa chambre, il pleure, en parlant il verse des larmes. […] Comme il pleure, il s’endort, tandis qu’il verse des larmes, le sommeil l’emporte; il repose dans le sommeil et accablé.
Et dans son rêve, El descend à lui, dans sa vision, le Père de l’Humanité s’approche, demandant à Kret,
«Qui est ce Kret qui doit pleurer, Le Bon, le disciple de El, pourquoi devrait-il verser des larmes?
Veut-il la monarchie du Taureau, son père, ou la souveraineté à l’instar du Père de l’Humanité? “
[…réponse]«Pourquoi ais-je besoin de l’argent, et d’Or Jaune, et des serviteurs perpétuels, des équipages de 3 chevaux, des chars de la cour d’un fils de servante ? La Garantie d’obtenir un fils ; la garantie d’augmenter ma descendance »
Taureau, son Père El, lui réponds :
« [...] Tout en pleurant, Kret, tout en versant des larmes, ô Le Bon, Disciple d’El, vous lavera et vous-même rougir. Lavez-vous les mains jusqu’au coude »