145-6
Puis le Commandeur des Croyants marcha jusqu’à descendre sur la terre de Jazîra, et les Banû Taghlib et Namir b. QâsiT l’accueillirent en Jazîra.
Il a dit : ‘Alî déclara à Yazîd b. Qays al-ArHabî :
« Ô Yazid b. Qays ! » ; il répondit :
« A ton service ô commandeur des Croyants ! »
« Ceux-là sont ton peuple, de leur nourriture, mange, et de leur boisson, bois ! »
Naçr è’Umar b. Sa‘dèal-KalbîèAl-Açbagh b. Nubâta
Qu’un homme demanda à ‘Alî, à al-Madâ’in, à propos des délégations à l’Apôtre […]
Et il déclara :
« Par Dieu ! j’en suis le témoin, Alors arriva à lui une délégation de Banî Taghlib, ils convinrent qu’ils persistent dans leur Loi et ne pousse pas leurs enfants dans le christianisme ! »
Et nous fûmes informés qu’ils l’avaient délaissée, …
Lorsque ils entra dans leur pays, une Muslima l’accueillit …
Puis il alla de ce qu’il avisa de cela ; et il Thanâ de son avis.
Puis le Commandeur des Croyants marcha jusqu’à atteindre Raqqa, et ses habitants Jalû aux Uthmanides qui avaient fuis Kûfa à leur avis et à leur caprice vers Mu‘awiya, ils scellèrent ses portes et s’y fortifièrent.
Leur Commandeur état Samâk b. Makhrama al-Asadî, de l’obéidence de Mu‘awiya, et le Fâriq compatait au maximum environ 100 hommes des Banî Asad, puis il entreprit d’écrire à son peuple jusqu’à y réunir 700 hommes parmi eux.
225 :
Puis il se retourna et mena les gens à leurs sabres, leurs lances et leurs flèches pour les réparer, puis Ka‘b b. Ju ‘ayl at-Taghlibî passa chez eux ; il dit : « La Umma est devenue une étrange affaire ; et la possession réunie demain pour quiconque vainc ! J’ai dit une parole véridique, qui n’est nul mensonge ; que vraiment, demain, périssent les étendards des arabes demaini, nous rencontrerons notre seigneur et nous ferons les comptes ; Ô Seigneur, ne nous prend point en dérision, et ne verse pas la rupture des paires et de l’acier ; demain tous deux seront de cendres et s’approcherons après la beauté, de la pudeur et du lignage ! »