Nous savons que, jadis, à Kairouan, des gens qu’on appelait Riyah venaient garder des jardins des environs de cette ville au Printemps à la fin de la moisson pour 2 dinars par jardins quel qu’il soit. Parfois, ils se répandaient dans les jardins prenant chacun en gardiennage un jardin ou davantage ou moins, même s’ils formaient un groupe. Si les propriétaires des jardins sont consentants et les jours de gardiennage fixés ainsi que l’importance des jarclins, ce gardiennage est admissible. II ne l’est pas si le salaire consiste en une participation à la récolte aléatoire