-Un mari accepte de n’épouser une autre femme qu’avec l’autorisation de son épouse qui, en cas d’infraction, sera libre en un seul divorce la rendant maîtresse d’elle-même (fî talqa wâhida mumallika)
– Le tuteur (kâfil) d’une orpheline impose au prétendant un don (hadiyya) de 2 gros taureaux pour le festin de noces traditionnel. Le marié n’envoie que 2 génisses.
-Une divorcée reçoit de son ex-mari pour allaiter leur fille 5 dirhams par jour, prix fixé en période de disette. La vie est devenue facile ; elle lui réclame l’achat d’une servante (khâdim) nourrice ou le louage d’une nourrice.