Un hors-la-loi (mustaghraq al-dhimma) désireux de se repentir, après avoir consulté les juristes de l’endroit, a fait procéder à l’évaluation de ce qu’il détenait et en fixe le montant en dinars.
Peut-il faire des transactions commerciales, verser ce qu’il doit au titre de la Zakat sur les céréales dont le montant découle de l’évaluation et inclure dans l’évaluation globale de sa fortune une dot (sadaq) de 100 dinars almoravides ?
Réponse. Il ne faut pas imposer des conditions trop dures aux Arabes et autres désireux de se repentir pour éviter qu’ils renoncent à le faire