Mariage conclu par son frère, tuteur testamentaire, d’une jeune orpheline sans fortune de la tribu berbère des Awraba et appartenant à une famille de prédicateurs établis depuis longtemps à Tâzâ, à un commerçant honorable et d’ascendance Qaysite, pour une dot supérieure à celle qu’on donne à ses pareilles.
Un frère du tuteur réclame l’annulation du mariage arguant que l’époux n’est pas d’un rang égal à celui de la mariée.
Réponse : Le mariage ne peut être annulé vu que le mari est riche, d’ascendance arabe et que les Arabes sont supérieurs aux Berbères