[Ibn al-Ashtar] attaqua [‘Ubayd Allah] Ibn Ziyâd et ses troupes, ces derniers furent vaincus après un féroce combat et de nombreux morts des deux côtés. Lorsue ‘Umayr b. al-Hubâb vit que les hommes d’Ibrâhîm avait battu ceux de ‘Ubayd Allah, il envoya une parole à Ibrâhîm : « Dois-je venir à toi maintenant ? » Ibrâhîm répondit : « Ne viens pas à moi jusqu’à ce que la colère des troupes d’élite de Dieu s’apaise ! Car je crains qu’ils ne te maltraitent ! »
Ibn al-Ashtar déclara : « J’ai tué un homme qui sentait le musc, ses bras étaient à l’est et ses pieds à l’ouest, il était sous une bannière autonome, sur la rive de la rivière Khâzir ! »
Ils s’enquérirent de qui il était, et il s’agissait en fin de compte de ‘Ubayd Allah b. Ziyâd, qui avait été tué : Ibrâhîm l’avait frappé et coupé en deux, de sorte à ce que ses pieds tombent à l’est, et ses ses bras à l’ouest. Sharîk b. Jadîr at-Taghlibî attaqua al-Huçayn b. Numayr as-Sakûnî, le croyant être ‘Ubayd Allah b. Ziyâd ! Ils s’empoignèrent mutuellement, et at-Taghlibî s’écria : « Tue moi, fils de prostitué ! ». Ibn an-Numayr fut tué.
‘Abd Allah b. Ahmad=>son père=>Sulaymân [b. CâliH]=>’Abd Allah b. al-Mubârak=>al-Hasan b. Kathîr
Sharîk b. Jadîr at-Taghlibî était du côté de ‘Alî et avait été blessé aux yeux avec lui. Lorsque la guerre de ‘Alî prit fin, il prit la route pour Jerusalem et s’y trouvait lorsqu’on lui apprit le meurtre d’Al-Husayn, il dit : « Je jure devant Dieu que si n m’en donne le pouvoir_c’est-à-dire de venger le sang d’Al-Husayn_je tuerai Ibn Marjâna ou je mourrais en essayant ! »
En apprenant qu’Al-Mukhtâr était sortit pour réclamer vengeance pour le sang de Husayn, il vint à lui.
Al-Mukhtâr l’envoya avec Ibrâhîm b. Al-Ashtar, et fut nommé à la charge des cavaliers des Rabî‘a. Il déclara à ses compagnons.
« Ceci je l’ai juré devant Dieu ! »
300 hommes lui prétèrent allégeance jsqu’à la mort ! Lorsque la rencontre eut lieu, il attaqua, et commença avec ses compagnons à déchirer lignes après ligne sjusqu’à atteindre ‘Ubayd Allah. La poussière se leva et on n’entendait rien d’auttre que le tintement de l’acier et des épées. Lorsque les hommes se séparèrent, les deux hommes reposaient, morts, at-Taghlibî et ‘Ubayd Allah b. Ziyâd, avec personne entre eux d’eux