D’après Mutarrif, lorsqu’une voie publique importante est côtoyée par un cours d’eau qui la dégrade jusqu’à y interrompre la circulation, le Sultan peut contraindre les propriétaires des terrains riverains de les céder, afin d’élargir la voie dans toute la mesure nécessaire.
Néanmoins, tant que le Sultan n’en a rien décidé, le public n’a pas le droit de traverser lesdits terrains sans l’autorisation.